dimanche 19 septembre 2010

Retour sur la première fin de semaine : les jetlagueux* débarquent à Paris

Après l’épisode des taxis qui refusent de nous embarquer à cause de notre excès de bagages, on fini par en trouvé un qui conduisait un mini mini-van et qui accepte enfin de nous amener à bon port. Petit problème en cours de route, nous n’avions pas l’adresse de l’hôtel où nous allions loger pendant les deux prochaines nuits. Note à nous même : Ne pas se fier aux taxis pour connaître l’adresse par un simple nom d’hôtel. Grâce à la vigilance et au flair redoutable d’Andrée-Ann, nous avons trouvé assez rapidement le chemin de l’hôtel. Note à Martin : toujours emporter Andrée-Ann avec lui lors de ses voyages.




Le sympathique touriste pakistanais qui a pris cette photo de nous deux se croyait probablement en Italie. On se croirait face à la tour de Pise. Il a pris 3 photos et c’est de loin celle-ci qui est la plus droite!

Après la visite des principaux attraits touristiques de Paris (la Bastille, les Champs Élysées, la cathédrale Notre-Dame et la tour de Pise ?!) nous sommes entrés dans un vrai havre de paix : Le jardin du Luxembourg. L’atmosphère qui y règne est si détendue qu’on à peine à croire qu’une ville aussi trépidante que Paris l’entoure. Dès notre entrée au Jardin on observe du coin de l’œil des dizaines de joueurs de cartes et d’échecs qui ne nous portent pas attention, trop occupés à gagner leur partie. En avançant un peu plus, on découvre tranquillement un immense palais qui se dresse devant nous. C’est tout simplement magnifique, que dire de plus? Voici en image toute la beauté qui ne s’exprime pas en mots.





 




Pour les quelques romantiques d’entre vous, sachez qu’il existe une tradition bien spéciale sur un petit pont de Paris : on y appose des cadenas d’amour. Ceux-ci, gravés des initiales des amoureux ou nouveaux mariés, sont accrochés à ce pont et les clés ensuite jetées dans la Seine :  «Ainsi, les cœurs enchaînés ne pourront jamais être séparés et aucun rival ne trouvera la clé du cœur de l’être aimé».




Et en terminant, pour les superstitieux qui s’inquiétaient de notre départ en avion le 11 septembre, aucun signe de terroristes avant, pendant ou même après le vol. Cependant, il faut croire que nous attirons les alertes à la bombes parce qu’il y en a eu une le lendemain de notre visite à la Tour Eiffel. La même chose s’était produite à Times Square lors de notre petite escapade à la Grosse Pomme en avril dernier. Gare à ceux qui veulent suivent nos traces…


* Jetlagueux : Gens qui souffrent du décalage horaire selon le petit AAB illustré 2011.

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